OPPLIGER, SIMONE



Manifestations, rencontres et signatures
Index des auteurs


Née le 23 juin 1947 à Renan dans le vallon jurassien de St-Imier et décédée le 4 mai 2006
Apprentissage de photographe de 1963 à 1968
1968 – 1969 : laborantine au Centre-photo de 24 Heures et de la Tribune de Lausanne
En 1986, première assemblée générale de l’association Focale à Nyon et vernissage de l’exposition de Simone Oppliger Comédiennes.
Auteur de nombreux livres et brochures alliant textes et photographies ; les livres les plus importants sont :
Le Jura République. Texte Vincent Philippe, photographies Simone Oppliger. Lausanne: Éd. 24 Heures, 1978.
Quand nous étions horlogers. Lausanne: Éd. Payot, 1980.
L’Amour mortel. Lausanne: Éd. Pierre-Marcel Favre, 1986
Le Cœur et la terre. Lausanne: Éd. Le Nouveau Quotidien, 1994.
Travail sur l’identité et l’exil, exposé en 1994 au Musée de l’Elysée de Lausanne.
L’Exil féminin pluriel. Éd. AGER.
Reportages dès 1970: Amérique latine – Pérou – Antilles – Mexique – Cuba – Sénégal – dans les maquis de Guinée-Bissau, Vietnam (1972), Chili (1973), Brésil (la Transamazonienne), Guatemala, Salvador (mars 1982), Algérie, etc.
Ces reportages ont été publiés dans les divers journaux et magazines de Suisse romande et dans le Tages Anzeiger.
En 2002, exposition à Bienne d’un reportage sur le village de Renan, vingt ans après Quand nous étions horlogers.
Membre active de la Fédération suisse des journalistes.

Bourses fédérales du Département fédéral de l’intérieur
• pour les reportages en Amérique latine
• pour les reportages sur le Jura
• Prix de la Commission de littérature du Canton de Berne pour le livre Quand nous étions horlogers.
Edith Bianchi,  qui dirigeait la collection camPimages (elle avait conçu les deux ouvrages de Simone Oppliger et les truis ouvrages de Charles-Henri Favrod), est décédée le 26 mars 2017.

L’Amour mortel
Simone Oppliger photographe